Alors que l’agenda européen se resserre, le cadre des négociations sur la question du nom n’est pas encore fixé. Les représentants européens espèrent un règlement dans les six mois à venir, et Athènes utilise cet ultimatum pour faire pression sur Skopje, qui refuse de céder du terrain. Les représentants grecs et macédoniens restent intransigeants sur une question identitaire perçue comme cruciale.