Skopje attend avec impatience que l’Union européenne lui donne une date d’ouverture des négociations d’adhésion. Mais depuis le veto grec sur l’entrée de la Macédoine dans l’OTAN, l’optimisme n’est plus de mise. Et, à Bruxelles, le nom de la Macédoine ne sera pas son seul obstacle. La langue macédonienne posera également problème, puisqu’elle n’est toujours pas reconnue par la Bulgarie.