L’ONU suggère une nouvelle issue au conflit nominal gréco-macédonien. Depuis quelques semaines, Athènes dicte l’agenda grâce à son droit de veto sur l’entrée de la Macédoine dans l’OTAN. À Skopje, le Premier ministre Nikola Gruevski aimerait se débarrasser de la patate chaude : il a soulevé hier la possibilité d’organiser un référendum.