Le conflit nominal devient le principal obstacle à l’intégration européenne de la Macédoine. C’est la présidence française de l’Union européenne qui l’a rappelé lundi, par la voix de Bernard Kouchner. À Skopje, on souligne que les accords signés jusqu’ici avec l’UE n’ont jamais présenté la résolution du conflit comme une condition à l’intégration.